Mon antichambre de la camisole

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Créé le : 21/04/2008 17:10
Modifié : 19/11/2008 22:52

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Personnalité antisociale ou personnalité psychopathique...

08/05/2008 19:57

Personnalité antisociale ou personnalité psychopathique...


La psychopathie est un trouble du comportement caractérisé par le déni de l'individualité d'autrui et un comportement généralement impulsif et antisocial pouvant aller jusqu'au crime.
Le psychopathe est celui qui est atteint de psychopathie.

En psychologie, ce type de personnalité se caractérise par des conduites anti-sociale. fondées sur des impulsions sans éprouver de culpabilité

Ce sont en général des actes de délinquance, des mensonges ou le mépris du danger. La vie sociale est instable avec de nombreux changements professionnels, des absences ou des fugues. Les règles de la vie sociale et les valeurs sont enfreintes. Ces personnes sont enclines à infliger des mauvais traitements à leurs familles. Pour eux, manifester des émotions est un signe de faiblesse et de la déchéance de leur influence sur autrui.

Environ 3 % des hommes et 1 % des femmes sont touchés par le comportement antisocial. En général, un psychopathe est un sujet qui a sa propre vision du bien et du mal, qui n'est pas celle acceptée socialement, pouvant donner lieu à une multitude de manifestations singulières asociales, antisociales délictueuses ou criminelles à divers degrés.


Profil :

Retenons en premier lieu que le terme « psychopathie » véhicule ainsi une notion de trouble de caractère avec d’importantes implications historiques et cliniques :

  • Le courant américain s’appuie essentiellement sur une approche symptomatologique ; ainsi dans le DSM IV de l’American Psychiatric Association les critères ne recouvrent que les troubles de la personnalité anti-sociale, orientés vers la criminalité ; la transgression de la loi est un élément clef de diagnostic de psychopathie aux EU, or en France ce rapport à la loi apparaît comme l’un des éléments sémiologiques mais non central car si beaucoup de psychopathes sont des délinquants car privilégiant les passages à l’acte au détriment de toute élaboration mentale, souvent avec des conséquences légales, tous les délinquants ne sont pas psychopathes (Diatkine). Néanmoins, en s‘appuyant sur ces critères et ceux dégagés par Hare et al. (1991), Meloy (2001) a pu dégager certaines caractéristiques de personnalité des psychopathes criminels : une absence d’anxiété ou d’inquiétude, une dévaluation agressive et réelle d’autrui qui permet d’étayer les vécus d’un soi grandiose et de réparer les blessures émotionnelles, un contrôle omnipotent sur les autres, un charme superficiel associé à une faconde certaine, une insensibilité relationnelle, un manque de remords, ainsi qu’un ennui terrible et inquiétant.
  • On peut noter par ailleurs que Meloy, en remettant au premier plan une clinique vivante, s’est posé la question des relations d’objet chez les sujets psychopathes, dans la tradition de Mélanie Klein, Jacobson ou encore Kernberg. En effet, tout en affirmant une prédisposition psychobiologique nécessaire à la psychopathie, il s’est intéressé aux expériences d’objet primaires vécues comme déficientes et conflictuelles ; les origines développementales de la personnalité psychopathique sont caractérisées par une séparation précoce d’avec le parent primaire pendant la phase symbiotique de maturation, des défauts d’internalisation, une prédominance d’une identification archétypique à l’objet-soi étranger, un échec dans la constance de l’objet et l’attachement narcissique primaire au soi grandiose et enfin un mode agressif et sadomasochiste dans la relation à l’autre.
  • A l’instar de Kernberg qui place la psychopathie dans une variante grave des troubles de la personnalité narcissique (eux-mêmes inscrits dans une fonction et un niveau élevé de l’organisation limite) en s’appuyant sur les pulsions agressives mais avec des données constitutives, les Européens ont essentiellement développé une approche structuraliste ou organisationnelle de la psychopathie ; P.-C. Racamier parlera de perversion narcissique tandis que Balier, psychanalyste lacanien, a distingué la perversion (carences plus tardives donc début d’élaboration et symbolisme d’où les allers-retours entre dépression majeure et mégalomanie, on serait là plutôt dans les Etats limites) de la perversité, qui rejoint alors ce que d’autres appellent psychopathie, avec des carences parentales extrêmes. Le sujet psychopathe passerait à l’acte pour éviter le réveil de la trace d’une menace d’envahissement par l’image maternelle.

Pour d’autre, comme Bergeret, l’organisation limite va englober ce que d’autres appellent psychopathie car certains signes tels le caractère factice, le fonctionnement en faux self du borderline résonnent aux traits de simulation, d’imitation et d’imposture de la sémiologie américaine. Ceci étant dit, de nombreux travaux ont montré que les personnalités psychopathiques et borderline étaient différentes d’un point de vue de l’examen clinique, de l’accès thérapeutique et de ses aménagements, la comorbidité des deux étant de meilleur pronostic.

  • Enfin, la plupart des auteurs s’accordent cependant sur l’économie narcissique au cœur du fonctionnement psychopathique : la relation d’objet est marquée par la pulsion agressive et ses dérivatifs, par la recherche de pouvoir et de contrôle, avec une lutte importante contre la dépendance et une dévalorisation systématique de l‘autre.

Le maintien d’un soi grandiose, pour protéger le sujet des épreuves liées au doute de soi, demandent alors la mise en place de mécanismes de défense plus ou moins archaïques, à base de clivage, de déni, d’identification projective, de rationalisation, de projection, d’identification à l’agresseur et d’omnipotence.

  • De plus, la description traditionnelle fait du passage à l’acte psychopathique un substitut de la pensée et l’attribue à une carence de l’élaboration mentale, un raté de la symbolisation, une décharge pulsionnelle avec incapacité à différer la satisfaction. Cependant, certains auteurs ont montré que chez certains psychopathes graves, on serait face à une pathologie de l’action et non de mentalisation (Andronikof, 2001) avec passages à l’acte agressifs lors de moments de dissociation.

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychopathie

[ Le Bien... Le Mal... Tout ça est si subjectif... Les seuls choses de vrais sont ce qui est positif pour soi et négatif pour soi... et, vois-tu, Il y a quelque chose qui me ferait extrêmement plaisir et qui me détendrai: te planter une belle lame quelque part entre ta tête et ton buste...]








Vidocq

10/05/2008 23:09

Vidocq


A Paris, à l'aube de la Révolution de juillet 1830, Etienne Boisset, jeune journaliste et biographe autoproclamé d'Eugène-François Vidocq, débarque de son village de province pour démasquer l'assassin de son maître à penser et reprendre sa dernière enquête laissée inachevée. En cours de route, il fait la rencontre de tous ceux qui avaient côtoyé de près ou de loin Vidocq : Preah, une courtisane manipulatrice ; Nimier, détective et ami du défunt ; et Lautrennes, officier de police flanqué de deux gardes du corps jumeaux.
De bordel en fumerie d'opium, de sombres ruelles en cabinet secret, Etienne Boisset va découvrir un monde d'une fantastique décadence.

[L'enquête... Le spectacle... Le mystère et l'ésotérisme.
Du sang ! Je veux du sang !... et des morts.]


Source: http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=29306.html





Travailler...

31/05/2008 16:53

Travailler...


Le mot travail (de l’ancien français travail signifiant "souffrance, tourment" (XIIème sicècle) du bas latin (VIè siècle) tripalius (du latin tripalium "instrument de toruture à trois poutres") désigne l'effort, l'application nécessaire pour faire quelque chose.

Par extension, il désigne également le résultat de cet effort. En italien, le terme lavoro (labeur) se rattache au latin labor, qui a la signification de fatigue, peine, et qui a donné l'adjectif laborieux. Le terme anglo-saxon work vient d'une racine indo-européenne que l'on retrouve dans le grec ἔρδω, avec l'idée de faire, d'accomplir quelque chose. Le travail est ce qui lie un effort où l'on peut s'épuiser (voire une souffrance) à un résultat positif.

Le sens premier, avec son contexte de souffrance ou de pénibilité, se retrouve :

  • dans une situation précise (avec une fréquence en baisse par les locuteurs) : On dit d'une femme qui est en train d'accoucher qu'elle est « en travail ».
  • encore très largement de nos jours, sous la forme verbale travailler dans le sens de tourmenter. Par exemple : « Ma dispute d'hier avec ma belle-sœur m'a travaillé toute la nuit. »
  • dans le registre désormais presque exclusivement voué à l'histoire locale et au patrimone rural, pour cause d'évolution et de la mécanisation des techniques, à propos d'un dispositif constitué, à la base, de trois ou quatre gros pieux afin d'immobiliser de grands animaux. Dans cette acception très particulière, le pluriel n'est pas « travaux » mais « travails ».
[Sens-tu la sueur couler sur ton front et la douleur cogner sur tes tempes ?
Je les sens, je les sens... Je fatigue...
Ça m'énerve, je n'arrive à rien !

Ah oui ? Déjà ? Et ton avenir alors ?

L'avenir a pris la forme
De l'échafaud,
Un jour de haine publique.]





Trouble de la personnalité borderline

10/06/2008 20:55

Trouble de la personnalité borderline


Le trouble de la personnalité borderline (ou trouble de la personnalité limite) est un trouble de la personnalité qui s'exprime par des humeurs changeantes, par des relations humaines délicates, par un manque de confiance en soi-même et aussi par des comportements auto-agressifs.

[Laissez moi... Le monde est moche... Laissez moi... JE T'AI DIS DE ME LACHER !!!]

Les « états-limites », les « états intermédiaires » ou encore les « pathologies limites » furent d'abord décrits par la psychiatrie, qui emploie cette catégorie dès 1884. Il s'agissait de décrire des troubles mentaux qui ne relèvent ni de la névrose ni de la psychose, mais se situent à la frontière.

En psychanalyse, Sigmund Freud propose dans Analyse avec fin et analyse sans fin (1937) l'idée que tout névrosé possède un moi en partie psychotique. D'autres auteurs développent l'idée de facteurs schizoïdes actifs dans de nombreuses pathologies.

En 1945, Otto Fenichel approuve cette notion en montrant la présence de troubles de nature psychotique dans d'autres troubles que la psychose elle-même.

Otto F. Kernberg  proposerale terme d'« organisation limite ».

Harold Searles considère que, chez les patients borderline, le moi fonctionne sur un mode autistique.

Jean Bergeret, en1970, suggère un rapprochement entre les pathologies limites et la mélancolie.

Personnalité

« Il s'agit de gens, pour la plupart des femmes, qui ont grandi avec le sentiment de ne pas avoir reçu l'attention et l'appui qui leur reviennent. Ils en sont révoltés et ils cherchent des chemins pour compenser cela dans leurs relations. Ils ont des attentes élevées et, quand leurs besoins sont à nouveau abandonnés, ils y répondent avec de la colère et du désespoir. »
    — John Gunderson, docteur américain

On retrouve souvent dans l'anamnèse une carence affective, une maltraitance, des abus sexuels.

Les éléments suivants, installés à l'adolescence, et de façon prolongée, peuvent évoquer une personnalité borderline :

  • sentiments de vide, d'ennui
  • sentiment d'être abandonné
  • dévalorisation
  • abus de substances (alcool, stupéfiants)
  • automutilations, conduites à risque (par ex. conduire en état d'ébriété, prostitution), tentatives de suicide
  • intolérance à la frustration
  • fragilité narcissique: extrême vulnérabilité au jugement d'autrui
  • difficulté à identifier et à réguler ses émotions
  • trouble du comportement alimentaire
  • trouble de la sexualité

[Je veux mourir en paix. Rien n'a plus d'importance car je n'ai aucune importance...]

La personnalité borderline est parfois, mais pas toujours, associée à un trouble bipolaire. De brefs épisodes psychotiques (délire) sont possibles mais toujours de façon limitée dans le temps, parfois en rapport avec la consommation de substances toxiques. En aucun cas le trouble borderline n'est une shizophrénie.

L'évolution naturelle de ce trouble de la personnalité est l'apparition de symptômes à l'adolescence, et leur régression vers l'âge de 40 ans. Tout l'enjeu de la prise en charge est d'accompagner ces années de « jeune adulte » le mieux possible.

Comportement social et couple

Les relations humaines du patient sont souvent très instables. Ceci est en rapport avec son image de lui-même troublée. Ainsi même des liens émotionnels intenses n'empêchent pas que la position vis-à-vis des membres de la famille, d'amis ou de partenaires soudainement tourne d'idéalisation (admiration et amour fort) en dépréciation.

Quand le patient croit être traité de façon injuste (que cela soit vrai ou non), il réagit souvent violemment et impulsivement et ne trouve, des jours et des semaines durant, pas d'issue à son univers d'idées de vengeance, de reproches vis-à-vis de lui-même et des autres ou même de haine de soi-même. Beaucoup de gestes des autres sont interprétés faussement ou qualifiés comme hostiles de par une sur-interprétation. Ils sont intensément analysés et examinés par rapport à leur contenu de « signaux ». La personne a des difficultés à interpréter justement le comportement des autres. Sa perception de l'autre est très changeante (« constance d'objet insuffisante »).

Il y a un rapport entre la peur d'être abandonné et la difficulté de se sentir émotionnellement lié à une personne-clé quand celle-ci est absente (« constance d'objet insuffisante »). Cela aboutit à un sentiment d'être abandonné et de n'avoir aucune valeur. Dans ces contextes, il peut y avoir des menaces de suicide ou des tentatives de suicide.

Source: http://fr.wikipedia.org








Faust de Goethe

13/06/2008 11:55

Faust de Goethe


Le docteur Faust est le protagoniste d'un conte populaire allemand qui a été employé comme base de beaucoup d’œuvres de fiction. Ce conte relate le destin d'un homme instruit, Johann Faust, qui appelle le diable à son aide, et offre de lui vendre son âme à condition que le diable accepte de le servir pendant 24 ans. Il signe avec le Diable, souvent nommé Méphistophélès, la reddition de son âme. Dans la plupart des versions ultérieurs du conte, l'âme de Faust demeure sienne après que le diable accomplit ses voeux.

[Je suis l'esprit qui toujours nie; et c'est avec justice: car tout ce qui existe est digne d'être détruit, il serait donc mieux que rien n'existât...]

Origine

Le mythe ploge ses racines dans l'histoire. Il semble qu'il repose sur la vie d'un certain Johann Georg Sabellicus surnommé Maître ou Docteur Faust ("poing fermé) (1480-1540) qui était un alchimiste allemand né dans le village de Knittlingen dans le Wurtenberg. Melanchthon, un ami de Luther, rapporte que Faust avait étudié la magie à l'université de Cracovie, en Pologne. Il a été accusé de pratiquer la magie noire et d'écrire des libelles sur les miracles de Jésus où il affirmait  qu'il pouvait, s'il le voulait, faire de même. Craint et détesté par Luther et Melanchthon qui affirmaient que le diable hantait Faust sous la forme d'un chien, ses adeptes l'avaient incité à enseigner. Accusé de molester ses étudiants - d'où son surnom - il dut quitter l'universiter pour échapper aux poursuites judiciaires.

D'autres témoignages prouvent qu'il était en activité à l'université d'Erfurt. Quand il enseignait Homère, il faisant apparaitre devant ses étudiants - sans doute à l'aide de projecteur provenant d'un lanterne magique - les héros de Troie et les monstres de la mythologie notamment le cyclope Polyphème. Certaines de ces figures d'ombre tentaient de dévrorer, avant de disparaitre, quelques étudiants épouvantés.

C'est à Erfurt que Fauste aurait déclaré en présence d'un moine franciscain nommé Konrad Klinge: "je suis allé plus loin que vous ne le pensez et j'ai fait une promesse au démon avec mon propre sang, d'être sien dans l'éternité, corps et âme".

En 1534, l'aventurier allemand Phillip von Hutten demanda de prédire son avenir avant d'explorer une région du Venezuela. Six ans plus tard, il écrivit à son frère que s'était produit exactement comme Faust l'avait prévu. Finalement arrêté et jugé pour sorcellerie, Faust fut exécuté en place publique à Staufen en Brigau en 1540.

[ Ainsi, tout ce que vous nommez péché, destruction, bref, ce qu'on entend par mal, voilà mon élément.]

Litérature

A la fin du XVIe siècle, Johan Spies publie Les livre de Faust. Il dresse la portrait profond et saisissant d'un homme dominé par la soif du savoir et s'éloignant de Dieu. Il est traduiten anglais en 1593, et tomba dans les mains de Christopher Marlowe qui site l'action de sa pièce à Wittenberg. Le docteur Faustus de Marlowe a été à son tour étudié par Johan Wolfgang von Goethe et la tragédie de Faust est venue éclipser le fauste historique, dont on connait peur de choses.

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Mythe_faustien








La personnalité histrionique

20/06/2008 22:43

La personnalité histrionique


le trouble de la personnalité histrionique (anciennement, hystérique) est un mode généralisé de réponse émotionnelle excessive. L'histrionique est en quête d'attention de la part d'autrui ; essaie de se mettre en valeur, de séduire, ou simplement d'attirer le regard ou la compassion.

Ce trouble atteint majoritairement les femmes et touche de 1,3% à 3% de la population.

[salut toi... Regardez moi tous... Vous n'avez jamais vu de bombe comme moi ?]

Principaux critères retenus par le DSM-IV

Mode généralisé de réponse émotionnelle excessive en quête d'attention, représenté par au moins cinq des huit manifestations suivantes :

  • Le sujet est mal-à-l'aise dans des situations où il n'est pas le centre de l'attention d'autrui.

  • L'interaction avec autrui est souvent caractérisée par un comportement de séduction inadapté, ou d'attitude provocante.

  • L'expression émotionnelle est superficielle et instable.

  • Le sujet utilise régulièrement son aspect physique pour attirer l'attention.

  • La manière de parler est trop subjective et pauvre en détails.

  • Il y a une dramatisation (théâtralisme, exagération du pathos) et une exagération de l'expression émotionnelle.

  • Le sujet fait preuve de suggestibilité : il est facilement influencé par les autres ou par les circonstances.

  • Le sujet a tendance à considérer que ses relations sont plus intimes qu'elles ne le sont en réalité.

[Oh ! Si vous saviez ce que je souffre quotidiennement ! J'ai trop mal... ma tête... non... je peux pas continuer... Je peux partir s'il vous plait ?]

Source: http://fr.wikipedia.org








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