Mon antichambre de la camisole

VIP-Blog de rirolarm

Mon antichambre de la camisole
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

12 articles publiés
dans cette catégorie
35 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 21/04/2008 17:10
Modifié : 19/11/2008 22:52

Garçon (17 ans)
Origine : Quelque part entre deux portes...
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Novembre  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
272829300102
03040506070809
10111213141516
17181920212223
24252627282930

Mes blogs favoris

agorimie-lova


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Apprendre... ] [ Aimer... ]

La personnalité paranoïaque

23/04/2008 18:08

La personnalité paranoïaque


La paranoïa (du grec παρά pará « à côté » et νοῦς noûs « esprit ») est au sens premier une maladie mentale chronique du groupe des psychoses, caractérisée par un délire d'un type particulier dit délire paranoïaque pour lequel il existe plusieurs thèmes récurrents. Il faut en différencier la personnalité paranoïaque, qui est un caractère particulier chez certains sujets, mais sans développement d'un délire (même si une personnalité paranoïaque peut évoluer vers une authentique paranoïa). Dans un sens dérivé, le terme paranoïa est aujourd'hui dans le langage commun ou journalistique utilisé pour rendre compte d'états comme la méfiance ou la suspicion, qui ne sont pas en eux-mêmes pathologiques.

Profil:

Ce trouble affecte 0,3 à 2,5 % de la population générale. D'un point de vue sémiologique les personnalités paranoïaques se caractérisent par quatre traits fondamentaux qui entraînent à terme une inadaptabilité sociale :

  1. la surestimation pathologique de soi-même ;
  2. la méfiance extrême à l'égard des autres ;
  3. la susceptibilité démesurée ;
  4. la fausseté du jugement.

État de méfiance soupçonneuse envahissante envers les autres dont les intentions sont interprétées de manière malveillante. La personnalité paranoïaque implique la présence d'au moins quatre des sept symptômes suivant :

  • le sujet s'attend, sans raisons suffisantes, à ce que les autres l'exploitent, lui nuisent ou le trompent.
  • Il est préoccupé par des doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité de ses amis/associés.
  • Il est réticent à se confier à autrui car il craint que l'information ne soit utilisée contre lui.
  • Il discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes dans les événements anodins.
  • Il ne pardonne pas d'être blessé, insulté ou dédaigné.
  • Il perçoit des attaques contre sa personne ou sa réputation, auxquelles il va réagir par la colère ou la contre-attaque.
  • Il met en doute de manière répétée et sans justification la fidélité de son conjoint.
[ Quoi ?... Qu'est ce qu'il y a ?... Tu m'aimes pas, c'est ça ?! QUoi ? QUOI ?!!! Laisse moi ! Arrète !! ]

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Parano%C3%AFa




la personnalité schizotypique

23/04/2008 21:41

la personnalité schizotypique


Le trouble de la personnalité schizotypique est un trouble de personnalité grave.

Mode général de déficit social et interpersonnel marqué par une gène aigûe et des compétences réduites dans les relations proches, par des distorsions cognitives et perceptuelles, et par des conduites excentriques. Le trouble apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes :

Profil:

  1. idée de référence (à l'exception des idées délirantes de référence)
  2. croyances bizarres ou pensée magique qui influencent le comportement et qui ne sont pas en rapport avec les normes d'un sous groupe culturel
  3. perceptions inhabituelles, notamment illusions corporelles
  4. pensée et langage bizarres
  5. idéation méfiante ou persécutoire
  6. inadéquation ou pauvreté des affects
  7. comportement ou aspect bizarre, excentrique ou singulier
  8. absence d'amis proches ou de confidents en dehors des parents du premier degré
  9. anxiété excessive en situation sociale qui ne diminue pas quand le sujet se familiarise avec la situation et qui est due à des craintes persécutoires plutôt qu'à un jugement négatif de soi-même
[ Je vois des choses.... personnes me croient ! Mais Je vois des choooses... Ils sont tous avec eux ! Ils ne veulent pas me croire !! Ils doivent être leurs complices... de qui ? Des Aliens !]

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Personnalit%C3%A9_schizotypique






la personnalité passive-agressive

25/04/2008 10:59

la personnalité passive-agressive


L'expression passif-agressif peut s'appliquer à une attitude en particulier ou une personnalité en général. Elle désigne un comportement passif d'obstructionnisme ou de résistance ou d'évitement dans les relations interpersonnelles ou les activités.

Cette attitude peut se manifester sous forme de ressentiment, d'entêtement, de procrastination, d'acrimonie, d'échec répété à accomplir une tâche dont la personne est — souvent explicitement — responsable.

Il s'agit d'un mécanisme de défense qui, le plus souvent, n'est que partiellement conscient. Une personnalité "passive-agressive" n'exprime extérieurement son agressivité qu'à travers une façade passive. Par exemple, ce type de personnalité exprimera la colère principalement de manière subtile, par des insinuations ou des comportements non-verbaux, souvent niés si ces comportements sont explicités par le sujet qui les subit. Les comportements "passif-agressifs" peuvent inclure par exemple : le fait d'oublier des rendez-vous, des engagements, ou d'arriver continuellement en retard ; le fait de formuler des paroles ou des insinuations désagréables, puis prétendre que ces paroles ou insinuations ont été mal interprétées, et nier toute arrières-pensée ; le fait d'extérioriser des sentiments de façon non-verbale (par exemple en claquant une porte, ou en jetant un objet), puis de nier les sentiments que ce comportement peut légitimement évoquer.

Profil:

  • Ambiguïté
  • Retards et distraction chroniques
  • Tendance à se plaindre
  • N'exprime pas l'hostilité ou la colère ouvertement
  • Peur de l'autorité
  • Peur de la compétition
  • Peur de la dépendance
  • Peur de l'intimité
  • Inefficacité intentionnelle
  • Fabriquer des excuses
  • Perdre les objets
  • Mensonge
  • Obstructionnisme
  • Procrastination
  • Ressentiment
  • Résistance aux suggestions des autres
  • Sarcasme
  • Entêtement
  • Morosité

Une personnalité passive-agressive peut ne pas posséder toutes ces caractéristiques, et peut en posséder d'autres qui ne sont pas "passives-agressives"

[ Oups ! J'ai dit quelque chose qui ne fallait pas ? désolé... je suis vraiment désolé... *Crétin !* ]

 








Personnalité antisociale ou personnalité psychopathique...

08/05/2008 19:57

Personnalité antisociale ou personnalité psychopathique...


La psychopathie est un trouble du comportement caractérisé par le déni de l'individualité d'autrui et un comportement généralement impulsif et antisocial pouvant aller jusqu'au crime.
Le psychopathe est celui qui est atteint de psychopathie.

En psychologie, ce type de personnalité se caractérise par des conduites anti-sociale. fondées sur des impulsions sans éprouver de culpabilité

Ce sont en général des actes de délinquance, des mensonges ou le mépris du danger. La vie sociale est instable avec de nombreux changements professionnels, des absences ou des fugues. Les règles de la vie sociale et les valeurs sont enfreintes. Ces personnes sont enclines à infliger des mauvais traitements à leurs familles. Pour eux, manifester des émotions est un signe de faiblesse et de la déchéance de leur influence sur autrui.

Environ 3 % des hommes et 1 % des femmes sont touchés par le comportement antisocial. En général, un psychopathe est un sujet qui a sa propre vision du bien et du mal, qui n'est pas celle acceptée socialement, pouvant donner lieu à une multitude de manifestations singulières asociales, antisociales délictueuses ou criminelles à divers degrés.


Profil :

Retenons en premier lieu que le terme « psychopathie » véhicule ainsi une notion de trouble de caractère avec d’importantes implications historiques et cliniques :

  • Le courant américain s’appuie essentiellement sur une approche symptomatologique ; ainsi dans le DSM IV de l’American Psychiatric Association les critères ne recouvrent que les troubles de la personnalité anti-sociale, orientés vers la criminalité ; la transgression de la loi est un élément clef de diagnostic de psychopathie aux EU, or en France ce rapport à la loi apparaît comme l’un des éléments sémiologiques mais non central car si beaucoup de psychopathes sont des délinquants car privilégiant les passages à l’acte au détriment de toute élaboration mentale, souvent avec des conséquences légales, tous les délinquants ne sont pas psychopathes (Diatkine). Néanmoins, en s‘appuyant sur ces critères et ceux dégagés par Hare et al. (1991), Meloy (2001) a pu dégager certaines caractéristiques de personnalité des psychopathes criminels : une absence d’anxiété ou d’inquiétude, une dévaluation agressive et réelle d’autrui qui permet d’étayer les vécus d’un soi grandiose et de réparer les blessures émotionnelles, un contrôle omnipotent sur les autres, un charme superficiel associé à une faconde certaine, une insensibilité relationnelle, un manque de remords, ainsi qu’un ennui terrible et inquiétant.
  • On peut noter par ailleurs que Meloy, en remettant au premier plan une clinique vivante, s’est posé la question des relations d’objet chez les sujets psychopathes, dans la tradition de Mélanie Klein, Jacobson ou encore Kernberg. En effet, tout en affirmant une prédisposition psychobiologique nécessaire à la psychopathie, il s’est intéressé aux expériences d’objet primaires vécues comme déficientes et conflictuelles ; les origines développementales de la personnalité psychopathique sont caractérisées par une séparation précoce d’avec le parent primaire pendant la phase symbiotique de maturation, des défauts d’internalisation, une prédominance d’une identification archétypique à l’objet-soi étranger, un échec dans la constance de l’objet et l’attachement narcissique primaire au soi grandiose et enfin un mode agressif et sadomasochiste dans la relation à l’autre.
  • A l’instar de Kernberg qui place la psychopathie dans une variante grave des troubles de la personnalité narcissique (eux-mêmes inscrits dans une fonction et un niveau élevé de l’organisation limite) en s’appuyant sur les pulsions agressives mais avec des données constitutives, les Européens ont essentiellement développé une approche structuraliste ou organisationnelle de la psychopathie ; P.-C. Racamier parlera de perversion narcissique tandis que Balier, psychanalyste lacanien, a distingué la perversion (carences plus tardives donc début d’élaboration et symbolisme d’où les allers-retours entre dépression majeure et mégalomanie, on serait là plutôt dans les Etats limites) de la perversité, qui rejoint alors ce que d’autres appellent psychopathie, avec des carences parentales extrêmes. Le sujet psychopathe passerait à l’acte pour éviter le réveil de la trace d’une menace d’envahissement par l’image maternelle.

Pour d’autre, comme Bergeret, l’organisation limite va englober ce que d’autres appellent psychopathie car certains signes tels le caractère factice, le fonctionnement en faux self du borderline résonnent aux traits de simulation, d’imitation et d’imposture de la sémiologie américaine. Ceci étant dit, de nombreux travaux ont montré que les personnalités psychopathiques et borderline étaient différentes d’un point de vue de l’examen clinique, de l’accès thérapeutique et de ses aménagements, la comorbidité des deux étant de meilleur pronostic.

  • Enfin, la plupart des auteurs s’accordent cependant sur l’économie narcissique au cœur du fonctionnement psychopathique : la relation d’objet est marquée par la pulsion agressive et ses dérivatifs, par la recherche de pouvoir et de contrôle, avec une lutte importante contre la dépendance et une dévalorisation systématique de l‘autre.

Le maintien d’un soi grandiose, pour protéger le sujet des épreuves liées au doute de soi, demandent alors la mise en place de mécanismes de défense plus ou moins archaïques, à base de clivage, de déni, d’identification projective, de rationalisation, de projection, d’identification à l’agresseur et d’omnipotence.

  • De plus, la description traditionnelle fait du passage à l’acte psychopathique un substitut de la pensée et l’attribue à une carence de l’élaboration mentale, un raté de la symbolisation, une décharge pulsionnelle avec incapacité à différer la satisfaction. Cependant, certains auteurs ont montré que chez certains psychopathes graves, on serait face à une pathologie de l’action et non de mentalisation (Andronikof, 2001) avec passages à l’acte agressifs lors de moments de dissociation.

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychopathie

[ Le Bien... Le Mal... Tout ça est si subjectif... Les seuls choses de vrais sont ce qui est positif pour soi et négatif pour soi... et, vois-tu, Il y a quelque chose qui me ferait extrêmement plaisir et qui me détendrai: te planter une belle lame quelque part entre ta tête et ton buste...]








Travailler...

31/05/2008 16:53

Travailler...


Le mot travail (de l’ancien français travail signifiant "souffrance, tourment" (XIIème sicècle) du bas latin (VIè siècle) tripalius (du latin tripalium "instrument de toruture à trois poutres") désigne l'effort, l'application nécessaire pour faire quelque chose.

Par extension, il désigne également le résultat de cet effort. En italien, le terme lavoro (labeur) se rattache au latin labor, qui a la signification de fatigue, peine, et qui a donné l'adjectif laborieux. Le terme anglo-saxon work vient d'une racine indo-européenne que l'on retrouve dans le grec ἔρδω, avec l'idée de faire, d'accomplir quelque chose. Le travail est ce qui lie un effort où l'on peut s'épuiser (voire une souffrance) à un résultat positif.

Le sens premier, avec son contexte de souffrance ou de pénibilité, se retrouve :

  • dans une situation précise (avec une fréquence en baisse par les locuteurs) : On dit d'une femme qui est en train d'accoucher qu'elle est « en travail ».
  • encore très largement de nos jours, sous la forme verbale travailler dans le sens de tourmenter. Par exemple : « Ma dispute d'hier avec ma belle-sœur m'a travaillé toute la nuit. »
  • dans le registre désormais presque exclusivement voué à l'histoire locale et au patrimone rural, pour cause d'évolution et de la mécanisation des techniques, à propos d'un dispositif constitué, à la base, de trois ou quatre gros pieux afin d'immobiliser de grands animaux. Dans cette acception très particulière, le pluriel n'est pas « travaux » mais « travails ».
[Sens-tu la sueur couler sur ton front et la douleur cogner sur tes tempes ?
Je les sens, je les sens... Je fatigue...
Ça m'énerve, je n'arrive à rien !

Ah oui ? Déjà ? Et ton avenir alors ?

L'avenir a pris la forme
De l'échafaud,
Un jour de haine publique.]





Trouble de la personnalité borderline

10/06/2008 20:55

Trouble de la personnalité borderline


Le trouble de la personnalité borderline (ou trouble de la personnalité limite) est un trouble de la personnalité qui s'exprime par des humeurs changeantes, par des relations humaines délicates, par un manque de confiance en soi-même et aussi par des comportements auto-agressifs.

[Laissez moi... Le monde est moche... Laissez moi... JE T'AI DIS DE ME LACHER !!!]

Les « états-limites », les « états intermédiaires » ou encore les « pathologies limites » furent d'abord décrits par la psychiatrie, qui emploie cette catégorie dès 1884. Il s'agissait de décrire des troubles mentaux qui ne relèvent ni de la névrose ni de la psychose, mais se situent à la frontière.

En psychanalyse, Sigmund Freud propose dans Analyse avec fin et analyse sans fin (1937) l'idée que tout névrosé possède un moi en partie psychotique. D'autres auteurs développent l'idée de facteurs schizoïdes actifs dans de nombreuses pathologies.

En 1945, Otto Fenichel approuve cette notion en montrant la présence de troubles de nature psychotique dans d'autres troubles que la psychose elle-même.

Otto F. Kernberg  proposerale terme d'« organisation limite ».

Harold Searles considère que, chez les patients borderline, le moi fonctionne sur un mode autistique.

Jean Bergeret, en1970, suggère un rapprochement entre les pathologies limites et la mélancolie.

Personnalité

« Il s'agit de gens, pour la plupart des femmes, qui ont grandi avec le sentiment de ne pas avoir reçu l'attention et l'appui qui leur reviennent. Ils en sont révoltés et ils cherchent des chemins pour compenser cela dans leurs relations. Ils ont des attentes élevées et, quand leurs besoins sont à nouveau abandonnés, ils y répondent avec de la colère et du désespoir. »
    — John Gunderson, docteur américain

On retrouve souvent dans l'anamnèse une carence affective, une maltraitance, des abus sexuels.

Les éléments suivants, installés à l'adolescence, et de façon prolongée, peuvent évoquer une personnalité borderline :

  • sentiments de vide, d'ennui
  • sentiment d'être abandonné
  • dévalorisation
  • abus de substances (alcool, stupéfiants)
  • automutilations, conduites à risque (par ex. conduire en état d'ébriété, prostitution), tentatives de suicide
  • intolérance à la frustration
  • fragilité narcissique: extrême vulnérabilité au jugement d'autrui
  • difficulté à identifier et à réguler ses émotions
  • trouble du comportement alimentaire
  • trouble de la sexualité

[Je veux mourir en paix. Rien n'a plus d'importance car je n'ai aucune importance...]

La personnalité borderline est parfois, mais pas toujours, associée à un trouble bipolaire. De brefs épisodes psychotiques (délire) sont possibles mais toujours de façon limitée dans le temps, parfois en rapport avec la consommation de substances toxiques. En aucun cas le trouble borderline n'est une shizophrénie.

L'évolution naturelle de ce trouble de la personnalité est l'apparition de symptômes à l'adolescence, et leur régression vers l'âge de 40 ans. Tout l'enjeu de la prise en charge est d'accompagner ces années de « jeune adulte » le mieux possible.

Comportement social et couple

Les relations humaines du patient sont souvent très instables. Ceci est en rapport avec son image de lui-même troublée. Ainsi même des liens émotionnels intenses n'empêchent pas que la position vis-à-vis des membres de la famille, d'amis ou de partenaires soudainement tourne d'idéalisation (admiration et amour fort) en dépréciation.

Quand le patient croit être traité de façon injuste (que cela soit vrai ou non), il réagit souvent violemment et impulsivement et ne trouve, des jours et des semaines durant, pas d'issue à son univers d'idées de vengeance, de reproches vis-à-vis de lui-même et des autres ou même de haine de soi-même. Beaucoup de gestes des autres sont interprétés faussement ou qualifiés comme hostiles de par une sur-interprétation. Ils sont intensément analysés et examinés par rapport à leur contenu de « signaux ». La personne a des difficultés à interpréter justement le comportement des autres. Sa perception de l'autre est très changeante (« constance d'objet insuffisante »).

Il y a un rapport entre la peur d'être abandonné et la difficulté de se sentir émotionnellement lié à une personne-clé quand celle-ci est absente (« constance d'objet insuffisante »). Cela aboutit à un sentiment d'être abandonné et de n'avoir aucune valeur. Dans ces contextes, il peut y avoir des menaces de suicide ou des tentatives de suicide.

Source: http://fr.wikipedia.org








Début | Page précédente | 1 2 3 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact rirolarm ]

© VIP Blog - Signaler un abus